
La coque est taillée dans la masse (dans un seul morceaux de bois). |

De forme longiligne, elle est finement réalisée. |

Les bordés ainsi que le lattage du pont sont redéssinés par gravage du bois. |

L'intérieur de la coque est un véritable réceptacle : poussière, mouton, corps d'insecte desséché... |

Par endroit un début d'attaque d'insectes peut être observé. |

Un dépoussiérage avec un petit pinceau de type brosse dur, pour enlever le plus gros.
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Les voiles finement réalisées sont tachées par endroits. |

Elles ont jauni avec le temps. Elles ne comportent pas de trou. |

Avec une brosse extrêmement douce au poil souple... |

les voiles sont brossées délicatement. |

Elles ont déjà plus fière allure. |

Le ber est poncé au grain 400, puis une cire antiquaire , de la même teinte, est appliquée sur toute sa surface. |

Je protège toujours par un feutre autocollant un ber car... |

... sans protection et il a tendance à abîmer la coque par frottement. |

Maintenant, ce ber sera un confortable nid douillet pour accueillir la coque. |

Après un très léger ponçage au grain 400, une fondure est appliquée... |

... puis une cire antiquaire, renforcant sa teinte chaleureuse. |

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Après un lustrage avec un chiffon doux... |

... la coque prend une teinte satiné et doux au regard... |

..., une véritable invitation au touché et à la caresse. |

Le gouvernail est traité de la même manière que la coque. Une des ferrures est refaite avec un tige laiton de 0,8mm, puis peinte en noir mat. |

Il est ensuite ajouté et remis à sa place. |

Sur le tableau de bord arrière, un motif est gravé, en forme de "a". Peut être est-ce la signature du concepteur ?. |

Le bout dehors, casé, est refait complétement et attend sa mise en teinte. |